Mais au bout il y a le repos, la sécurité
Le 2 juillet 1915, le groupe est relevé à 22 heures par le 125e RI et la marche reprend, pénible, à travers les boyaux, mais au bout il y a le repos, la sécurité.
Le JMO du 125e RI confirme que la relève s'est effectuée sans incident.
Les pelotons rejoignent isolément, et se rassemblent au bois d'Ecoivres, où attend une soupe chaude.
A 5h30, embarquement à Acq. A au lieu de rejoindre Frohen, le groupe débarque non loin de là, à Buire aux Bois, où il est seul et où il fait rejoindre son matériel.
Il y séjourne du 4 au 6 juillet et il procède aux nettoyages nécessaires après un pareil séjour aux tranchées ; tous se rappellent certainement " la Nymphe " du village.